Stéphanie Mangez et Amélie Dewez

 Stéphanie Mangez et Amélie Dewez se connaissent depuis plus de vingt ans. Elles ont partagé des ateliers d’écriture, échangé et relu leurs textes, et sont aujourd’hui publiées dans la même maison d’édition (Oskar éditeur, collection Je lis, je vis). Leur écriture se nourrit souvent des souvenirs comme déclencheurs de fiction.

C’est donc tout naturellement qu’elles ont eu envie d’animer ensemble un atelier : un espace construit à quatre mains, où chacune apporte sa sensibilité et son regard. Les participantes et participants y découvriront deux approches complémentaires, deux types de retours, et la richesse d’un dialogue à voix multiples autour de la mémoire et de la fiction.

Nacho Carranza

Je suis né à Río Negro, en Patagonie argentine. Etudiant en droit et militant actif contre la dictature militaire, je suis obligé de quitter mon pays en 1978 alors qu’autour de moi mes amis tombent comme des mouches, assassinés ou disparus. Installé à Bruxelles, je fais des études de cinéma à l’Insas, écris et réalise quelques films, me consacre à l’enseignement (à l’Insas et en Colombie). A la mort inopinée de mon père, en 1983, je décide d’un jour devenir écrivain, car, je me dis, personne ne pourra écrire sur mon père sinon moi. Paul Auster semble m’avoir entendu qui écrit peu de temps après, sur ce même sujet, L’invention de la solitude, son premier roman. Auster a ainsi écrit «mon» livre sur le père, est devenu l’un de mes écrivains préférés… et je ne me suis mis à l’écriture littéraire que vingt-cinq ans après.

Pendant des années je vais écrire dans ma tête, je vais beaucoup lire, et, par un effet de contamination inconscient, sans doute, mes scenarii de films seront trop «littéraires» au goût de certains producteurs. Je vais donc travailler comme script-doctor et comme conseiller artistique pour deux maisons de production cinématographique – activités que je continue à exercer. Or, la vie va vite, les années passent, et en 2006, à la naissance de mon dernier enfant, convaincu des relations intimes entre création et procréation, je me sens mûr pour m’attaquer à la feuille blanche et la noircir ! Ce sera en espagnol, me dis-je, ma langue maternelle… mais non ! Vingt-cinq ans après mon arrivée en Belgique, la langue française s’impose à moi comme langue de création.

Souffle en mon cœur un vent de Patagonie, édité par Francis Dannemark en 2011 pour le Castor Astral, est mon premier livre. Ce recueil de nouvelles en forme de curriculum imaginaire fait un joli parcours dans des concours (à Dax, en France, finaliste du prix Boccace, aussi en France, finaliste du Prix Jean Muno en Belgique, entre autres.)

Une effroyable beauté, que je viens de finir, est mon deuxième livre, roman à la très lente gestation, peut-être parce que trop proche de mon vécu en Argentine et dans l’exil belge. J’ai reçu pour sa finalisation la Bourse de la Découverte de la Promotion des Lettres, en 2020.

J’écris actuellement un recueil de nouvelles : Charnel ; et un roman : Un été sur la lune.

Depuis une quinzaine d’années j’anime des ateliers d’écriture.

Geoffrey Claustriaux

Geoffrey Claustriaux est un écrivain, scénariste et vidéaste web belge, né en 1985 à La Louvière.

Il cherche avant tout à instaurer un climat de confiance et de bienveillance entre les participants, et propose diverses activités d’écriture mélangeant théorie et pratique. Chacun aura l’occasion de lire, d’écrire et de partager ses idées à travers les nombreux exercices proposés.

Compte tenu de sa douzaine d’années d’expérience dans le milieu littéraire, Geoffrey pourra vous accompagner de manière efficiente et personnalisée.

Il a publié à ce jour une quinzaine de romans dans différentes maisons d’édition belges, françaises et canadiennes, ainsi que plusieurs recueils de nouvelles.

Ses livres ont été finalistes pour plusieurs prix (Prix Plume de Cristal, Prix des Futuriales, Prix Etrange-Grande).

Il a également scénarisé plusieurs courts métrages, dont certains sont disponibles sur Internet (The Dark Eyes, Chocolat), et en juillet 2023 il a lancé sa chaîne Youtube « La Maison Claus » consacrée au cinéma d’horreur.

En 2016, il a fait partie du jury du BIFFF (Festival international du film fantastique de Bruxelles) et depuis 2017, il est le parrain du concours de nouvelles fantastiques organisé conjointement par la Confédération Parascolaire, Livr’S Editions et le Festival international du film fantastique de Bruxelles.

Il est par ailleurs un collaborateur occasionnel du magazine de cinéma L'Écran fantastique, ainsi que de la Web TV BTLV.

Geoffrey Claustriaux

Geoffrey Claustriaux est un écrivain, scénariste et vidéaste web belge, né en 1985 à La Louvière.

Il cherche avant tout à instaurer un climat de confiance et de bienveillance entre les participants, et propose diverses activités d’écriture mélangeant théorie et pratique. Chacun aura l’occasion de lire, d’écrire et de partager ses idées à travers les nombreux exercices proposés.

Compte tenu de sa douzaine d’années d’expérience dans le milieu littéraire, Geoffrey pourra vous accompagner de manière efficiente et personnalisée.

Il a publié à ce jour une quinzaine de romans dans différentes maisons d’édition belges, françaises et canadiennes, ainsi que plusieurs recueils de nouvelles.

Ses livres ont été finalistes pour plusieurs prix (Prix Plume de Cristal, Prix des Futuriales, Prix Etrange-Grande).

Il a également scénarisé plusieurs courts métrages, dont certains sont disponibles sur Internet (The Dark Eyes, Chocolat), et en juillet 2023 il a lancé sa chaîne Youtube « La Maison Claus » consacrée au cinéma d’horreur.

En 2016, il a fait partie du jury du BIFFF (Festival international du film fantastique de Bruxelles) et depuis 2017, il est le parrain du concours de nouvelles fantastiques organisé conjointement par la Confédération Parascolaire, Livr’S Editions et le Festival international du film fantastique de Bruxelles.

Il est par ailleurs un collaborateur occasionnel du magazine de cinéma L'Écran fantastique, ainsi que de la Web TV BTLV.

Nacho Carranza

Je suis né à Río Negro, en Patagonie argentine. Etudiant en droit et militant actif contre la dictature militaire, je suis obligé de quitter mon pays en 1978 alors qu’autour de moi mes amis tombent comme des mouches, assassinés ou disparus. Installé à Bruxelles, je fais des études de cinéma à l’Insas, écris et réalise quelques films, me consacre à l’enseignement (à l’Insas et en Colombie). A la mort inopinée de mon père, en 1983, je décide d’un jour devenir écrivain, car, je me dis, personne ne pourra écrire sur mon père sinon moi. Paul Auster semble m’avoir entendu qui écrit peu de temps après, sur ce même sujet, L’invention de la solitude, son premier roman. Auster a ainsi écrit «mon» livre sur le père, est devenu l’un de mes écrivains préférés… et je ne me suis mis à l’écriture littéraire que vingt-cinq ans après.

Pendant des années je vais écrire dans ma tête, je vais beaucoup lire, et, par un effet de contamination inconscient, sans doute, mes scenarii de films seront trop «littéraires» au goût de certains producteurs. Je vais donc travailler comme script-doctor et comme conseiller artistique pour deux maisons de production cinématographique – activités que je continue à exercer. Or, la vie va vite, les années passent, et en 2006, à la naissance de mon dernier enfant, convaincu des relations intimes entre création et procréation, je me sens mûr pour m’attaquer à la feuille blanche et la noircir ! Ce sera en espagnol, me dis-je, ma langue maternelle… mais non ! Vingt-cinq ans après mon arrivée en Belgique, la langue française s’impose à moi comme langue de création.

Souffle en mon cœur un vent de Patagonie, édité par Francis Dannemark en 2011 pour le Castor Astral, est mon premier livre. Ce recueil de nouvelles en forme de curriculum imaginaire fait un joli parcours dans des concours (à Dax, en France, finaliste du prix Boccace, aussi en France, finaliste du Prix Jean Muno en Belgique, entre autres.)

Une effroyable beauté, que je viens de finir, est mon deuxième livre, roman à la très lente gestation, peut-être parce que trop proche de mon vécu en Argentine et dans l’exil belge. J’ai reçu pour sa finalisation la Bourse de la Découverte de la Promotion des Lettres, en 2020.

J’écris actuellement un recueil de nouvelles : Charnel ; et un roman : Un été sur la lune.

Depuis une quinzaine d’années j’anime des ateliers d’écriture.

Nacho Carranza

Je suis né à Río Negro, en Patagonie argentine. Etudiant en droit et militant actif contre la dictature militaire, je suis obligé de quitter mon pays en 1978 alors qu’autour de moi mes amis tombent comme des mouches, assassinés ou disparus. Installé à Bruxelles, je fais des études de cinéma à l’Insas, écris et réalise quelques films, me consacre à l’enseignement (à l’Insas et en Colombie). A la mort inopinée de mon père, en 1983, je décide d’un jour devenir écrivain, car, je me dis, personne ne pourra écrire sur mon père sinon moi. Paul Auster semble m’avoir entendu qui écrit peu de temps après, sur ce même sujet, L’invention de la solitude, son premier roman. Auster a ainsi écrit «mon» livre sur le père, est devenu l’un de mes écrivains préférés… et je ne me suis mis à l’écriture littéraire que vingt-cinq ans après.

Pendant des années je vais écrire dans ma tête, je vais beaucoup lire, et, par un effet de contamination inconscient, sans doute, mes scenarii de films seront trop «littéraires» au goût de certains producteurs. Je vais donc travailler comme script-doctor et comme conseiller artistique pour deux maisons de production cinématographique – activités que je continue à exercer. Or, la vie va vite, les années passent, et en 2006, à la naissance de mon dernier enfant, convaincu des relations intimes entre création et procréation, je me sens mûr pour m’attaquer à la feuille blanche et la noircir ! Ce sera en espagnol, me dis-je, ma langue maternelle… mais non ! Vingt-cinq ans après mon arrivée en Belgique, la langue française s’impose à moi comme langue de création.

Souffle en mon cœur un vent de Patagonie, édité par Francis Dannemark en 2011 pour le Castor Astral, est mon premier livre. Ce recueil de nouvelles en forme de curriculum imaginaire fait un joli parcours dans des concours (à Dax, en France, finaliste du prix Boccace, aussi en France, finaliste du Prix Jean Muno en Belgique, entre autres.)

Une effroyable beauté, que je viens de finir, est mon deuxième livre, roman à la très lente gestation, peut-être parce que trop proche de mon vécu en Argentine et dans l’exil belge. J’ai reçu pour sa finalisation la Bourse de la Découverte de la Promotion des Lettres, en 2020.

J’écris actuellement un recueil de nouvelles : Charnel ; et un roman : Un été sur la lune.

Depuis une quinzaine d’années j’anime des ateliers d’écriture.

Salomé Mulongo 

• faire ses gammes,


• remplir sa boîte à outils d’écrivant·e,


• apprivoiser son imaginaire,


• et peut-être, trouver ou retrouver son chemin d’écriture.